Henry Johnes n'a pas toujours porté ce nom de famille... Auparavent, il vivait dans une famille composé d'une sorcière au sang pur, sa mère, et d'un père et petite sœur moldu. Nicia N'Guyen était une longue génération de Poufsouffle et la jeune mère s'en vantait bien souvent et voyait déjà son fils intégrer Poudlard sous cette maison gardant pour elle le secret de son vrai père biologique qui lui vient d'un maison tout autre... Cependant, le jeune garçon n'avait rien d'un Poufsouffle, sans connaître son vrai père, elle constate une ressemblance fragrante autant physiquement que mentalement. Peu à peu, sa mère change de caractère et couve continuellement son fils redoutant qu'une chose terrible arrive en rapport au Seigneur des Ténèbre, Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom. Le laisser à Poudlard l'angoisse avec tous les événements qui se sont produit autour du célèbre Harry Potter. Malgré ses craintes et tous les événements Nicia, laisse tout de même son fils allé à l'école de Poudlard à ses 11 ans en 1994, lui faisant promettre de l'écrire tous les jours, ce qui a tendance à naturellement agacé le jeune sorcier.

Une fois à Poudlard, le verdict du choipeau magique fera sombrer sa mère plus profondément encore dans la paranoïa et voir même la démence. Serpentard, son fils, a été mis à la maison de Serpentard, comme son père biologique et surtout comme une grande majorité des mangemorts responsable de tous les dangers qui les entoures. Elle cria erreur et conspiration par cette nouvelle déstabilisant Henry qui lui était plutôt satisfait de cette maison, qui correspondait à son caractère et ses ambitions. Frustré, il se refuse alors de lui écrire et décide de faire sa scolarité comme bon lui semblait. En quoi il y avait-il du mal à être un Serpentard ? Il ne le comprenait pas et par les événements et la réaction de sa mère, commence peu à peu à en avoir honte. Mais heureusement, une Serdaigle souriante de la même année que lui est venue faire connaissance avec lui...

Témoin de la coupe de feu et des épreuves dont Cédric Diggory et le célèbre Harry Potter en représente l'école de Poudlard. Henry fut bien entendue exaspéré qu'un élève de la maison de Nicia aime tant, représente l'école, mais regardait tout de même les épreuves avec attention. Il voulait comprendre en quoi cette maison, serait-elle meilleure que la sienne. Et ses observations on été en la faveur de la famille N'Guyen, jusqu'à l'épreuve final où il voit le cadavre du Poufsouffle dans les bras du Gryffondor bien plus jeune et inexpérimenté que lui. Depuis ce jour, Henry juge les Poufsouffle comme des sorciers faibles... Et commence même à haïr cette maison qui est source de trop gros nombre de ses problèmes.

N'aillant que onze ans Henry ne se rendait pas tellement compte du réel impact du monde des sorciers. Le retour de ce Voldemort que tout le monde craint tant... Ses vacances d'été n'ont pas été agréables, car c'est suite à de nombreuses disputes entre lui et sa mère. Et c'est lors d'une dispute et d'une perte de contrôle de Nicia qu'Henry apprend que le moldu qu'il a pensé être son père ne l'était en fait pas. Son père était un Serpentard comme lui, il se nomme Marcus Johnes et est aujourd'hui un médicomage renommé. Sa mère le déclare comme étant une mauvaise personne et qu'elle refusait qu'il soit comme lui et surtout qu'il tombe entre ses griffes. Perturbé par cette révélation, le Serpentard s'enferme dans sa chambre et n'en sort plus jusqu'à ce qu'il puisse retourner à Poudlard, revoir sa seule et meilleure amie, Gwenaëlle Squire.

1995, sombre date qui fait débuter la seconde année à Henry à Poudlard. Lors du banquet de bienvenue, Dumbeldore se fait assassiner et l'école est prise en charge par les mangemorts. Paniqué quand la nouvelle vient rapidement au sorcier, Nicia ordonne à Henry de rentrer de suite à la maison. Que Poudlard était à présent bien trop dangereux. Bien entendue, Henry refuse préférant rester avec les autres et surtout Gwen. Malheureusement, le harcèlement de sa mère s'intensifie et lorsqu'il reçoit la menace qu'il ira le chercher elle-même, le Serpentard fuit Poudlard à contre cœur avec une idée en tête. Retrouver son vrai père, Marcus Johnes à l’hôpital Sainte Mangouste. Grâce à la panique et les changements, le petit garçon parvient facilement à quitter Poudlard et à trouver son père à Sainte-Mangouste. Les retrouvailles ont été surprenant émouvant et depuis ce jour, Marcus Johnes deviens son seul et unique tuteur heureux de savoir qu'il a un fils. Il prend Henry sous son aile et donne son nom de famille et retourne ainsi à Poudlard refusant que son fils échappe aux études au plus grand bonheur d'Henry.

La relation père fils dépassait tout ce qu'Henry a pu s'imaginer. Une relation fusionnelle, ou il pouvait être lui-même sans être jugé. Ou son père à l'air de se plier en quatre pour sa réussite et son bien-être. Gwenaëlle est tenu au courant de tout, son nouveau nom de famille sa relation avec son père. Il garde cependant pour lui que son nouveau héros est un mangemort et donc la cause de tous ces changements qui n'ont pas l'air de plaire à tout le monde. Aveuglé par son admiration envers Marcus, Henry approuvait totalement ses idéaux et les actes du grand et puissant Seigneur des Ténèbres. À un tel point qu'il accepte de rejoindre les mangemorts à 15 ans par la plus grande fierté Marcus. Mais cette même année-là... Quelques jours après avoir hérité de la marque. Gwenaëlle et lui se sont embrassé avouant mutuellement leur sentiment, leur grande amitié était en fait de l'amour qu'ils ne se sont jamais osé dire. Cette 5e année de Poudlard aura donc été pour Henry la plus mémorable.

Mais c'est sans compter la suite des événements. Alors qu'aux yeux du jeune Serpentard tout se passait pour le mieux une révélation lui aura fait prendre conscience qu'il était en fait dans l'erreur. Après un an de relation avec Gwen, elle lui explique ses craintes et lui révèle qu'elle est en fait une née-moldu. Le jeune mangemort eut du mal à y croire sur le coup, mais quand il y réfléchis bien, ça expliquait tout de même les craintes de sa petite amie et sa nervosité depuis que son maître à prix le dessus sur le monde des sorciers. Elle qui était toujours si à l'aise avec le monde magique, elle qui était si brillante, si... Si parfaite à ses yeux. Savoir qu'elle était en fait depuis tout ce temps ces personnes qu'il regardait de haut... Henry prend conscience que lui et son père était dans le faux. Les sangs purs n'avaient en fait rien de supérieur. Que ce qui se produit là à l'instant était injuste. Il promet alors à Gwen de garder ce secret pour lui et de tenter d'arranger les choses pour elle, pour eux.

Étant encore admiratif de son père lors de sa 6e année, Henry lui évoque son désir de quitter les mangemorts. Il lui déclare que les sang-pur n'étaient en rien supérieur à tous et que ce que les née-moldu et moldu subisse était clairement injuste. Contre toute attente la conversation se termine mal. Au départ, Marcus restait calme, il lui assurait que ses dires n'était en fait qu'une passe et que bientôt, il verra et comprendra que les née-moldu sont des être inférieur et qu'aujourd'hui ils ont enfin réussis à répandre cette vérité sur l'Europe. Mais Henry tiens bon et insiste, déclarant qu'il connaît une née moldu qui par ses compétences et son adaptation au monde des sorciers n'a absolument rien d'un être inférieur. Son père en deviens plus oppressant et tente d'en savoir plus sur cette née-moldu. Mais Henry refuse de lui en dire plus pour la sécurité de celle qui l'aime. Expert en manipulation Marcus utilise la carte de la culpabilité pour faire rester Henry. Quitter les mangemorts les mettrons tout deux en danger. Pour sa sécurité et celle de son père Henry abandonne donc l'idée de quitter les mangemorts de suite. Et garde secret l'identité de Gwen que son père se mettra à chercher pour régler ce qu'il juge être un nouveau problème. Mais ça, Henry ne s'en doute pas vraiment, il se concentre sur la protection de Gwen, entamera bientôt sa 7e année et part encore de l'optique que son père ne souhaite que son bien et qu'il lui faudra du temps pour comprendre la vérité que lui la comprise grâce à elle.